🛕 Tablette votive commémorative Luang Phor Koon – Wat Ban Rai (1997)
Cette tablette votive en argile orangée a été réalisée en 1997 pour une cérémonie spéciale au Wat Ban Rai, célèbre monastère du nord-est de la Thaïlande. Elle intègre en son cœur une médaille en métal noirci à l’effigie du très vénérable Luang Phor Koon Parisutho, dans sa posture emblématique, assis, un bras replié, regard serein.
Figure légendaire de l’Isan, Luang Phor Koon est reconnu pour sa compassion sans limite, ses bénédictions puissantes et son enseignement profondément enraciné dans le Dharma.
Cette tablette servait probablement d’objet de mérite ou de souvenir bénit lors d’un événement de soutien au temple sponsorisé par une donatrice nommée Phatcharin Kiatisak , comme indiqué par l’inscription datée du 15 novembre 1997.
Autour de la médaille, quand on observe à la loupe, on découvre 10 petits rouleaux sacrés takut, et au dos se trouve une grosse bille en pierre relique relique blanche Phratat Khao.
Ceci est un objet sacré UNIQUE, fabriqué spécialement par le Wat Banrai pour une donatrice.
Une pièce de collection spirituelle rare, témoin d’un moment de foi collective et de dévotion envers un maître dont l’influence dépasse les frontières du royaume.
Caractéristiques
- Temple : Wat Ban Rai (จังหวัดนครราชสีมา – Nakhon Ratchasima)
- Maître : Très Vénérable Luang Phor Koon Parisutho (หลวงพ่อคูณ ปริสุทโธ)
- Date : 15 novembre 1997 (15 พ.ย. 40)
- Matériau : Argile moulée et médaille en métal noirci + takut et bille relique.
- Dimensions : environ 11 cm de haut x 7.5 cm de large
- Poids : environ 200 grammes
Vertus spirituelles
- Favorise les actes méritoires et le karma positif
- Renforce le lien spirituel avec Luang Phor Koon
- Protection douce et bénédiction permanente
- Objet de collection et de foi historique
🔮 Note ésotérique
Ce n’est pas une pierre. C’est un instant pétrifié.
Un jour, dans un temple baigné de lumière, les fidèles se sont rassemblés.
Ils ont prié, donné, chanté.
Luang Phor Koon était là, silhouette tranquille au milieu des chants.
Et ce jour-là, quelque chose est resté.
Pas dans l’air, mais dans la terre.